La thématique bebe terreur nocturne mérite d’être abordée dans le sens où bon nombre de parents se retrouvent impuissants face à ce phénomène. Les terreurs nocturnes correspondent en effet à des épisodes inquiétants au cour de la nuit et pendant lesquels on ne comment réagir. On espère qu’une compréhension de cette réalité pourra nous aider à mieux y faire face.
Comment calmer terreur nocturne bébé ?
Pour arriver à tranquilliser le petit qui est donc sujet à cette terreur nocturne bebe, il est important de comprendre ce qui peut bien se passer et ce qu’il ressent. L’idée de le calmer suppose qu’il fait en quelque sorte l’objet d’une angoisse. En d’autres termes, en voyant le bebe s’agiter, pleurer voire crier et manifester un état terrorisé, l’on se dit qu’il a peur de quelque chose. Dans cet optique, nous avons tendance à vouloir à tout prix le réveiller pour qu’il se rende compte qu’il n’en est rien en réalité. Bien que ce geste est justifié, il est pourtant tout à fait contre indiqué. Cela est valable quand on parle de terreur nocturne d'un enfant de 2 ans en général. En effet, certains l’auront remarqué ou déjà vécu, les terreurs nocturnes peuvent apparaitre chez les bebes et chez les plus de 2ans voire jusqu’à 9 ans. D’après les conseils du Dr Arnault Pfersdorff, pédiatre, le bon réflexe à adopter est tout simplement de faire sentir notre présence à l’enfant. Nul besoin de le réveiller, le but est tout simplement de trouver un moyen de l’apaiser.
Pourquoi les bébés font des terreurs nocturnes ?
Après avoir fait face à cet état d’agitation qui se produit la nuit, on cherche normalement à comprendre la raison de ces troubles du sommeil de l’enfant. L’on se dit, si c’est bien ce qu’on appelle une terreur nocturne que faire ? Selon l’âge, un petit peut être apaiser de nombreuses façons. L’idéal est de créer les conditions pour que le phénomène ne se produise pas la nuit. Comme on dit, mieux vaut prévenir que guérir.
Contre toute attente, cette prévention peut s’appliquer contre les terreurs nocturnes. Cela s’explique par le fait qu’un enfant qui aura vécu un évènement qui l’aura marqué pendant la journée aura des chances d’être sujet à cette manifestation. Dans ce cas, il est donc important de s’assurer qu’avant de le coucher, on a veillé à recréer un climat de sérénité. On peut par exemple recourir à la lecture pour qu’il puisse se détacher de tous ce qui s’est déroulé au cours de la journée.
Quelle différence entre ces réveils de nuit et les cauchemars ?
Aussi bien le cauchemar la nuit que les terreurs nocturnes provoquent une interruption du sommeil de l’enfant. Pour ajuster nos réactions en fonction de la situation, il est donc important de reconnaitre les signes de l’un et de l’autre. En ce qui concerne les réveils nocturnes, leurs manifestions se rapprochent en fait du somnambulisme. Cela signifie donc, que le bout de chou qui en est victime se trouve en fait dans un état d’inconscience, même si on lui parle. C’est pour cela qu’on dit qu’il ne peut pas nous entendre. C’est d’ailleurs la raison pour laquelle les spécialistes conseillent de ne pas chercher à les réveiller car les agitations s’insèrent toujours dans leur sommeil. Ainsi, en les réveillant, c’est plutôt nous qui interrompons ce dernier et au final, on n’aura fait qu’empirer les choses. Si ces troubles se répètent et que vous n’êtes pas tranquilles, on peut envisager de coucher l’enfant la nuit dans votre lit. De cette manière, non seulement il se sentira plus sécurisé mais les parents seront moins inquiétés par les cris de détresses si le bébé est tout juste à côté.
Quelles astuces pour bien dormir la nuit ?
Du sommeil de l’enfant dépend la tranquillité des parents. Ces derniers peuvent ne pas avoir de répits si les pleurs toutes les nuits viennent perturber le bébé. Dans la mesure où ces incidents ont tendance à se répéter, vous pouvez comme il a été conseillé vous décider à le faire passer la nuit dans votre lit. Il n’y d’ailleurs pas que cette forme de parasomnie qui peut affecter ce temps de repos de la famille. Le cauchemar la nuit peut également venir en rajouter une couche. Au final, les conseils pour les nuits seront tous bons à prendre. Parmi les astuces qui marchent se trouvent le fait d’instaurer un rituel quotidien avant le coucher.
Comment gérer les perturbations pendant les heures de repos ?
Les heures de repos ont leur rôle aussi bien pour les petits et pour les grands. Moins important pour ces derniers, le sommeil de l’enfant doit quant à lui aller au-delà d’une certaine durée, en moyenne 10 heures. Le cauchemar la nuit fait partie des fléaux qui affecte ce temps indispensable. Vous pouvez arriver à le gérer en dormant ensemble la nuit dans votre lit. Il n’y a pas vraiment de réponse exacte la question : comment faire ? Les parents doivent être à l’écoute et attentifs le soir sur les cauchemars des enfants.